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Mini-guide pour apprendre à faire un patron de couture soi-même

Le rêve de toutes couturières, même débutantes, est de parvenir à réaliser seules leurs propres créations. Une des étapes indispensables est pour cela la réalisation d’un patron de couture. Le processus demande une certaine confiance en soi et de la patience. Mais avant tout, cela demande de s’entourer des matériels nécessaires. Cet article va servir de mini-guide pour ceux qui souhaitent réaliser tous seuls leurs patrons de couture. 

Quels sont les matériels nécessaires pour faire un patron de couture ? 

La précision étant très importante dans la fabrication d’un patron de couture, il est tout aussi essentiel d’être bien équipé. Les cinq outils fondamentaux dont vous aurez besoin sont : une règle, un crayon, un scotch, un critérium ainsi qu’une paire de ciseaux à papier. Vous aurez également besoin :

  • D’un papier à patron ;
  • D’une règle japonaise ;
  • D’une équerre ;
  • D’un perroquet ;
  • D’une roulette à patron.

Le papier à patron 

Le papier à patron est facilement trouvable dans un magasin de tissu ou dans une petite mercerie. La couturière débutante en aura besoin pour y tracer les dimensions du patron afin de rendre la couture facile. Les papiers existent généralement en plusieurs matières : papiers à patron blanc, papiers quadrillés, papiers de soie, papiers kraft, etc. En tout cas, l’important c’est que le papier soit relativement transparent afin de pouvoir décalquer le tracé d’une face. 

La règle japonaise et l’équerre

À la fois souple et très pratique, la règle japonaise se place très facilement dans les courbes du tissu. Elle est parfaite pour poser chaque millimètre du contour de ce dernier. Généralement, une règle fait 50 cm par 5 cm et est quadrillée sur toute la surface. Pour l’utiliser, il suffit d’aligner le bord du tissu sur la graduation souhaitée, puis de tracer. Quant à l’équerre, elle est utile pour réaliser des angles parfaits. 

Le perroquet

Le perroquet que l’on appelle également pistolet est un outil permettant de tracer les courbes naturelles des femmes, des hommes, des filles et des garçons plus facilement. La couturière ou le couturier en aura besoin pour réaliser de jolis rendus précis, rapides et efficaces. 

La roulette à patron

Pouvant être en fer, en plastique ou en bois, la roulette à patron est une roulette à picots montée sur un manche. On l’utilise pour marquer sur le papier l’emplacement d’une pièce ou d’une pince. Toutefois, certaines couturières la déconseillent au motif qu’elle fait perdre en précision lorsqu’elle finit par glisser en dehors des lignes. 

Comment faire son propre patron de couture ?

Fabriquer un patron de couture n’est pas chose facile. Mais cela reste néanmoins faisable en se dotant des bonnes méthodes. Pour les débutants, il existe trois façons de réaliser soi-même un patron de couture. Il est notamment possible de se servir d’un patron déjà fait ou d’un vieil habit à dupliquer. Il est également possible de choisir de le faire sur mesure. 

Acheter le patron de couture dans le commerce

Sans être de la triche, acheter un patron de couture déjà fait constitue le moyen le plus simple pour commencer. Celui-ci ne correspondant forcément pas à votre morphologie, vous serez appelé à effectuer certaines modifications. Cela concerne par exemple l’adaptation de la longueur, l’affinement des manches, l’agrandissement ou le raccourcissement de la carrure au niveau du trapèze, le rajout d’une encolure, des empiècements, l’élargissement de la taille, etc. Ainsi, avant de commencer par fabriquer de A à Z votre propre patron, une bonne technique pour débuter consiste à ajuster des patrons qui sont déjà faits. 

Utiliser de vieux vêtements pour créer le patron

Une autre alternative tout aussi efficace pour apprendre à créer son patron est de prendre un vieux vêtement. Il pourrait s’agir d’une robe fétiche, d’un tee-shirt, d’une jupe ou de n’importe quel vêtement dont vous souhaitez apprendre à faire le patron. Pour ce faire, vous aurez besoin d’un papier patron. Ce dernier est utile pour y poser le vêtement après l’avoir plié en deux sur sa longueur. Par la suite, à l’aide d’épingles, maintenez l’habit sur le papier et reportez les repères du haut de l’épaule, du bas de l’épaule, de la base du cou, du bras de l’emmanchure ainsi que du bas du vêtement. Pour finir, il vous suffit de relier les points à l’aide d’un crayon et d’une règle afin de tracer la totalité du contour. Dans le cas où le vêtement est usé et que vous êtes sûr de ne plus l’utiliser, vous pouvez le découdre afin de voir et comprendre comment il a été fait. Cela facilitera également la tâche pour le contour, néanmoins la technique demande pas mal de temps. 

Réaliser seul son patron de couture

Cette méthode est idéale après avoir réalisé les deux premières. Pour y parvenir, vous aurez besoin de faire le plein d’inspiration en puisant par exemple dans les comptes de couture sur les réseaux sociaux ou dans un magazine spécialisé. Choisissez un style de vêtement qui vous plaît et qui vous va à la fois. Vous devez commencer par prendre vos mesures, notamment le tour de poitrine, le tour de taille et le tour de hanche puis par les reporter sur le papier. Attention, car une moindre erreur de calcul et de mesure est perceptible à la couture. Il ne faut pas non plus oublier de prendre une certaine marge pour la couture. Par la suite, dessinez la création et terminez en découpant le patron. Enfin, il ne reste plus qu’à positionner le patron de couture sur le tissu choisi et à débuter. 

Les précautions à prendre avant de dessiner son patron

À savoir que les patrons diffèrent selon les vêtements ou les pièces qu’on souhaite confectionner. Il existe toutefois certaines règles générales qui sont toujours à respecter afin de coudre avec aisance. La première règle consiste à toujours couper à 1 cm du bord avant de découper aux ciseaux les contours du futur patron. Il s’agit de la largeur du piquage à la machine à coudre pour ne pas rogner sur la dimension de la pièce. Ensuite, il est également primordial de vérifier les angles droits, lesquels sont nombreux dans un patron. Des lignes obliques risquent de ne pas donner une ligne continue et gâcher l’esthétique de la pièce.

 

Le XXe siècle a permis à la filière textile de se développer grandement qu’il soit un secteur en grande expansion. Dans ce domaine, on peut retrouver la branche confection de tissus et de maroquinerie, mais aussi celle de la conception et la fabrication textile. Sa renommée a totalement touché le marché international et sa commercialisation nécessite une bonne traçabilité. On a donc pu constater que les pays riches comme les pays pauvres font preuve d’une forte compétitivité pour offrir aux multinationales un commerce de gros. 

Les différents progrès de l’industrie textile

En France, depuis que la machine à coudre à fait un bond tout à fait surprenant en 1829, la branche textile a pu aider la Haute Couture et les grandes marques à se forger une réputation. De ce fait, dès le début des années 1900 ce fut les fibres synthétiques qui ont été mises à l’honneur. Ensuite même si le secteur textile habillement a nettement ralenti jusqu’en 2007, il a su faire en sorte de reprendre du poil de la bête. Cela s’explique par une augmentation des rendements au niveau de la production surtout dans le domaine des textiles techniques. La création de l’Union des Industries textiles en 2017 a grandement favorisé cette expansion qui ne cesse de faire entendre parler d’elle dans toutes les régions de France.

Les spécialités uniques attribuées au secteur du textile

L’industrie du textile se divise en deux branches tout à fait distinctes :

  • D’une part, nous avons la filière production qui se base plus particulièrement dans le fait de sélectionner la matière première de qualité et de les transformer en produits répondant aux normes internationales. 
  • D’autre part, le domaine de l’habillement est un monde très vaste et en vogue. Nous avons même pu constater que le textile français usait de l’avantage qu’il a acquis. Cela se reflète par la mise en valeur de leur savoir-faire dans l’industrie de l’habillement et du prêt-à-porter. 

La France par le biais de l’import-export suit de très près l’Allemagne et l’Italie en matière de productions textiles et vêtements sur le marché européen. Ce genre de pratique suppose donc l’existence d’entreprises textiles et d’atelier de production aptes à fournir des services et des prestations de qualité.  

Les exportations de confection textile très prisées

Actuellement, on peut compter environ 400 entreprises de confection qui se spécialisent dans la confection textile en France. Cette concurrence qui existe entre ces secteurs du textile est un atout majeur, car cela permet de dénicher les meilleurs talents. À l’échelle mondiale, des statistiques prouvent que le textile est en hausse. Les chiffres sont passés de 65 milliards à 85 milliards en 10 ans. Ainsi, il est tout à fait concevable que les débouchés offerts par les entreprises du textile soient à la fois très attrayants, mais également innovants puisque la mode ne cesse d’évoluer constamment. Avec l’Asie et l’Amérique en tant que consommateurs de textiles, les exportations françaises vont bon train et s’accroissent de plus en plus. Qu’il soit question d’industrie textile classique ou technique, les producteurs fournissent des résultats de haute qualité. 

Les industries du textile des acteurs principaux sur le marché mondial

L’évolution majeure effectuée par les industries de l’habillement et du textile permet en effet l’augmentation des effectifs salariés et de l’emploi. L’habillement et la création de chaussures comptent approximativement 23, 6 millions de salariés. Le Bureau international du Travail a organisé une réunion composant les divers gouvernements, les institutions d’employeurs et les syndicats des travailleurs. Cela a permis de regrouper les 34 pays considérés comme les plus grands producteurs de textiles innovants. Le but principal était de se pencher sur les conditions de travail afin de favoriser les droits des ouvriers du textile. Ainsi, cela aidera les employeurs et les travailleurs à améliorer leur efficacité et leur productivité. En plus, le fait de privilégier les travaux manuels et la création d’autres filiales serait un très grand atout pour pouvoir être plus participatifs et rester créatifs  à l’échelon mondial.

Les effets de cette expansion au niveau de l’habillement

Notons que les exportations de vêtements atteignent 60 % et que ce sont les pays en développement qui sont les principaux producteurs. La chine a même instauré une politique gouvernementale qui a énormément développé la fabrication  de vêtements et du textile. De cette manière, grâce à l’accord de libre-échange, tous les pays peuvent participer librement à la confection de vêtement fait à partir de matériaux textiles  de qualité. Chacun a trouvé la spécialité qui lui convient le mieux et s’efforce à offrir des produits textiles respectant les normes environnementales tout en effectuant un contrôle qualité. Même si la crise du textile liée au Covid-19 a engendré une baisse de production et des ventes, cela n’empêche pas que le domaine de l’habillement soit mondialisé. Peu à peu, le secteur reprend ses habitudes et se concentre sur de nouvelles gammes qui pourraient attirer davantage d’investisseurs et de promoteurs. 

Les attentes face à la crise du Covid-19

La conjoncture économique que le monde a subie ces 2 dernières années a fortement touché le marché du textile. Le ralentissement économique a causé une baisse de 4,8 % au niveau du PIB dans tous les pays, mais encore plus en Amérique du Nord, en Europe et en Chine. Malgré une reprise des diverses activités, il existe toujours un climat d’incertitude face à la pandémie. Actuellement les industries du textile font tout leur possible pour augmenter les productions et les ventes. En plus de cela, avoir recours aux ventes en ligne permet de mettre en valeur les articles textiles. Tandis que le commerce extérieur et la haute technologie s’occupent de l’exportation dans le secteur du luxe et de la mode. Maintenir à la fois les collections et le coût de production de vêtements nécessite dans ce cas, la sous-traitance des tâches et la délocalisation de l’industrie textile française. Les pays d’Afrique subsaharienne font partie des sous-traitants engagés par les industriels du textile.

Les fibres synthétiques remplacent peu à peu les fibres naturelles

Des facteurs distincts font en sorte de faire évoluer le secteur du textile-habillement

  • Tout d’abord, le fait d’utiliser les fibres textiles synthétiques comme le polyester peut apporter de nombreux avantages
  • Ensuite, la manipulation de ces fibres est plus facile que le coton (fibre naturelle) et ne nécessite pas l’ajout d’une certaine quantité d’eau
  • Puis, le coût de production est moins cher que celui des fibres naturelles, car le recours au pétrole est très faible
  • Enfin, le coton et la laine peuvent être substitués par ces fibres synthétiques vu qu’elles ne sont pas réellement soumises aux divers aléas climatiques.

L’industrie du textile a donc surmonté de nombreuses épreuves pour en arriver là où elle en est aujourd’hui. Il est important de soutenir ce domaine qui ouvre un large champ au niveau de l’emploi et des exportations externes. On peut en déduire les secteurs du textile font parties des métiers à la mode jusqu’à présent.

 

Le masque en tissu a causé un effet a priori négatif 

Comme certains masques en tissu sont plus ou moins translucides, les gens voudront peut-être savoir que ces masques sont vraiment résistants au coronavirus. D’autant plus qu’une analyse un peu minutieuse montre que l’écart entre les mailles du tissu varie généralement entre 5 microns et 200 microns. Sachant que des virus tels que le SRAS-Cov-2 et le Covid-19 ne mesurent que 1 micron, les gens peuvent délibérément soupçonner si les masques en tissu peuvent vraiment résister à ces virus. Par conséquent, on estime que le virus pourra traverser les mailles du tissu du masque. Avec un certain humour, les critiques qui s’opposent au masque en tissu l’assimilant à un écran qui peut prétendre arrêter les moustiques ! En fait, cette analogie a des limites. Les masques en tissu sont très efficaces pour prévenir le coronavirus. 

Les masques en tissu sont des filtres à mailles hermétiques

 Afin de mieux apprécier l’efficacité des masques en tissu, il est à noter que le virus se dépose principalement en gouttelettes. Ces gouttelettes sont projetées de la bouche lors de la parole. Lorsque vous éternuez, ils seront toujours jetés par votre nez. Quand quelqu’un parle ou éternue, nous inhalons ces gouttelettes.

Cependant, le plus petit volume de ces gouttelettes est plus grand que celui du coronavirus car leur volume est de 5 microns. Par conséquent, lorsque l’écart entre les mailles est également de 5 microns, la maille du tissu du masque est suffisamment serrée pour intercepter ces gouttelettes. Mais que se passe-t-il lorsque l’écart entre les grilles dépasse 5 microns ? 

Le masque en tissu est un filtre colmatant, ce qui est plus efficace car il peut capter les particules ralentissant 

De plus, la maille du tissu est pourvue d’innombrables filaments pour combler les trous du tunnel. Ces filaments sont des obstacles insurmontables que les Microdrops ne peuvent surmonter. De plus, les gouttelettes et autres particules en mouvement dans l’air subissent une certaine inertie, qui tend à entraver la dynamique de leur mouvement. Cette inertie est due à l’influence de la force opposée au mouvement de ces particules. Les physiciens qui étudient ce genre de phénomène microscopique de mouvement l’appellent un phénomène de subsidence. Le mouvement des particules est généralement aléatoire, voire complètement chaotique. Les particules entrent rapidement en contact avec les fibres du masque en tissu, c’est ce qu’on appelle la diffusion. 

La recherche confirme l’effet filtrant des masques en tissu 

Les scientifiques n’ont pas attendu la crise du Covid-19 pour mener une série d’études sur les masques de protection respiratoire. Des études connexes ont été menées sur des masques en tissu vers les années 1960 et 1970. Dans ces études, les grosses particules et les particules fines ont été distinguées. Les grosses particules sont appelées gouttelettes et les particules fines sont appelées aérosols. 

Deux masques ont servi de support à ces expériences. Le premier masque en tissu se compose de 4 couches de tissu en coton. Le deuxième masque en tissu est constitué de deux couches de flanelle comprimées entre deux couches de coton. La capacité de filtrage de ces deux masques est respectivement de 99% des grosses particules et 89% des particules fines. Les conditions expérimentales sont que deux personnes portent ces masques lors de conversations de routine. 

Les masques en tissu maintiennent la pureté de l’air ambiant 

L’avantage de ces résultats est que les masques en tissu peuvent bloquer les projections respiratoires suffisamment en amont pour éviter qu’elles ne se propagent dans l’air ambiant. Par conséquent, des particules de toute taille sont piégées dans le tissu du masque et ne resteront pas dans l’environnement. Dans cet environnement, ces particules ne retomberont pas à la surface. Par conséquent, l’ensemble de l’environnement, comme le conteneur et le contenu, ne sera en aucun cas pollué. 

Les masques en tissu sont des filtres multicouches 

Des études ont montré que l’empilement de plusieurs couches de tissu pour fabriquer un masque peut augmenter l’efficacité du masque .En effet les masques en tissu composés de 2, 3 ou 4 couches de tissu peuvent offrir un niveau de protection plus élevé. Ainsi il est possible de superposer des tissus de même nature ou des tissus de propriétés différentes. Il n’est pas recommandé de dépasser 4 couches, car une épaisseur de tissu trop importante limitera la perméabilité à l’air. 

D’autant plus les tissus utilisés pour fabriquer des masques ont généralement plusieurs épaisseurs. Ces multiples épaisseurs se détachent comme une série d’obstacles cumulatifs devant les particules. Ceux-ci ne peuvent plus avancer à travers le masque en tissu. C’est pourquoi ils ne pourront pas toucher le visage du porteur du masque. Par conséquent, les particules sont bloquées par le masque en tissu. Par conséquent, les masques en tissu peuvent prévenir efficacement le coronavirus.

 

 

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